Le réveil a été particulièrement matinal le samedi 21 mars 2015. Après m’être difficilement levé, j’ai roulé 85 kilomètres depuis mon domicile dans la banlieue de Bordeaux en direction de Soulac-sur-Mer avec pour seul objectif d’arriver sur le front de mer avant 5h15, afin d’assister à un spectacle sonore et visuel mettant en scène une résidence désormais condamnée, le Signal.
Nuisance visuelle pour les uns, mais lieu d’habitation ou résidence secondaire pour d’autres, le Signal est l’unique aboutissement d’un projet qui prévoyait plusieurs bâtiments de ce type à Soulac. Surtout, lors de sa construction, entre 1965 et 1970, le front de l’océan culminait à quelque 200 mètres au large. Or, depuis cette époque, l’Atlantique gagne chaque année entre quatre et huit mètres sur les terres.
Nuisance visuelle pour les uns, mais lieu d’habitation ou résidence secondaire pour d’autres, le Signal est l’unique aboutissement d’un projet qui prévoyait plusieurs bâtiments de ce type à Soulac. Surtout, lors de sa construction, entre 1965 et 1970, le front de l’océan culminait à quelque 200 mètres au large. Or, depuis cette époque, l’Atlantique gagne chaque année entre quatre et huit mètres sur les terres.
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